"En ces temps difficiles, il convient d'accorder notre mépris avec parcimonie, tant nombreux sont les nécessiteux." Chateaubriand

samedi 18 février 2012

Immigration, intégration, assimilation (2)



Le précédent billet sur ce même thème a essayé de démontrer que les leviers dont dispose l'Etat en matière de maitrise quantitative et même qualitative de l'immigration sont d'une très relative efficacité. Ce même billet à travers le thème des mariages mixtes a tenté de suggérer que l'intégration des immigrés souffrait de lacunes que je considère pour ma part comme assez graves, voire davantage. Or, s'il est difficile de maitriser quantitativement et qualitativement l'immigration, puisque comme on a pu le voir le seul volet qui puisse faire l'objet d'une immigration vraiment choisie est le volet économique qui est désormais le plus faible motif d'immigration, la seule possibilité qui existe pour que la société encaisse ce choc continu, pour que la paix civile soit préservée et que la possibilité d'un avenir commun et consenti soit une possibilité est de favoriser au minimum l'intégration des nouveaux arrivants sur le territoire et si possible leur assimilation ou au moins celle de leurs enfants. 
  
Ceci fut la politique traditionnelle de la France pendant plus d'un siècle. En gros entre 1860, période où l'immigration de masse commence à apparaitre, et les années 70, période où apparait le regroupement familial. Alors évidemment ce ne fut pas facile. Des rapports de préfets dans les années 20 signalent que par exemple les Polonais sont des individus qu'il est impossible d'intégrer. Des conflits apparaissent ici ou là, notamment en fin de 19ème siècle avec les Italiens, qui feront parfois l'objet de véritables chasses à l'homme pouvant se conclure par des morts. Ces difficultés entrainent d'ailleurs beaucoup de retour chez eux de la part de ces immigrés. En bref la politique d'assimilation de la France fut sans concession. Elle apparaitrait sans doute désormais comme peu en phase avec l'angélisme ambiant sur les rapports humains, et notamment les rapports entre l'autochtone et l'étranger, mais reste que cette politique a porté ses fruits. Ceux qui restaient, et ce fut quand même la majorité, s'intégrèrent et parfois s'assimilèrent, leurs enfants s'assimilèrent et à la génération suivante on avait quasiment oublié ses origines étrangères ce qui se traduisait en particulier souvent par la perte de la langue de ses grands-parents. J'en parle avec une certaine connaissance du fait qu'une branche de ma famille est issue de l'immigration. Mes arrière-grands-parents, arrivés juste après la première guerre mondiale et que j'ai connus parlaient leur langue natale entre eux, mais parlaient très bien aussi le français appris sur place malgré un accent redoutable. Ils aimaient à se retrouver avec des gens issus de la même immigration qu'eux et qui ne manquaient pas. Ma grand-mère se maria avec un Français (bien que né allemand d'ailleurs car alsacien) et acquit difficilement d'ailleurs la nationalité française. Elle parlait et parle encore d'ailleurs le français sans aucun accent mais utilisait la langue natale de ses parents quand elle conversait avec eux mais ne se sentait plus du tout appartenir à une communauté venue d'ailleurs que donc elle ne fréquentait pas. Quant à ma mère qui aurait pu être trilingue du fait de ses parents, elle ne parla jamais que le français et sait juste mais pas davantage que moi finalement qu'elle a des ascendants étrangers.
Donc pour résumer une totale acculturation en deux générations. Il faut dire que cela était facilité pour les enfants dès l'école même si on n'y demeurait pas longtemps le plus souvent et où ma grand-mère a appris que ses ancêtres étaient gaulois et non varègues. On apprenait encore la même chose dans les années 60 quand j'étais enfant et les quelques petits arabes qui partageaient nos bancs ne s'en offusquaient pas, pas plus que nous ne notions cette incongruité de l'histoire qu'on nous enseignait. Le travail aussi, par son environnement était aussi un facteur d'intégration. Comme dans le passé on venait en France effectivement essentiellement pour des raisons économiques, la plupart des hommes, moins de femmes, étaient confronté à cet environnement et grâce soit rendu aux classes populaires françaises qui sans doute souvent en l'ignorant ont participé à l'intégration des immigrés, de mes arrière-grands-parents. Et puis il y avait aussi les mariages "mixtes", des vrais ceux-là, entre Français ou Françaises d'origine et filles ou fils d'immigrés. Dans ma région natale ces couples étaient très nombreux et leur descendance était résolument française sans états d'âmes ou nostalgie mal placée. Et bien évidemment le facteur catalysant était dans la majorité des cas une religion commune, ou une référence chrétienne partagée.
 
Qu'en est-il désormais? J'ai parfois l'impression que la phrase prononcée par Erdogan "L'assimilation est un crime contre l'humanité" est largement partagée par un certain nombre de Français, souvent membres de l'élite intellectuelle supposée de ce pays et que diversité et métissage, mots qui pourtant mis côte à côte forment un bel oxymore, sont devenues les deux mamelles de notre civilisation. Le résultat est qu'on vit non plus ensemble, même pas dans l'espoir de vivre un jour ensemble, mais les uns à côté des autres. Je prends pour témoin de cette affirmation l'ouvrage récent d'André Guérin député communiste fort estimable, vous aurez je l'espère noté cette expression très rare de ma part, porteur de la loi contre la burqa. Dans son livre "Les Ghettos
de la République. Encore et toujours"
dont j'ai pu lire quelques extraits, il écrit par exemple " Des millions de nos concitoyens ont franchi le seuil extrêmement dangereux où la notion même d'appartenance à une communauté sociale perd tout son sens." et " j'ai eu la désagréable surprise de découvrir […] que des individus réputés inflexibles quand à la défense des "valeurs universelles" baissaient le drapeau sans coup férir, dès lors qu'il s'agissait concrètement d'agir pour ces valeurs." Donc d'un côté le constat d'une société éclatée et de l'autre celui d'un manque de volonté pour soutenir le ciment (les valeurs universelles, susceptible de recréer le lien social. Il évoque aussi les crimes et délits en rapport avec son constat. Et là on pourrait citer ce rapport très récent de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales qui note que concernant les atteintes aux biens en France et en 2011, 17,3% sont imputables à des étrangers, tandis que pour les menaces et violences le pourcentage est de 12,3%, alors qu'il y a environ 8% d'étrangers présents en France. Je souligne que ce rapport a soulevé l'indignation à gauche, et en particulier au parti socialiste qui trouve cette publication indigne en période électorale. Car il est surement indigne que les Français disposent de tous les éléments pour choisir, du moins les éléments qui dérangent. En fait tout le problème est là, du moins une partie : des choses existent, mais on ne veut pas ou ne peut pas les voir. On est bien entendu contre ces choses, mais les combattre va à l'encontre de nos valeurs de tolérance (ou peut-être nos intérêts électoraux). Là j'égratigne la gauche, mais je pourrais en faire autant avec la droite, en particulier avec celui qui a supprimé la double peine et qui a promu la discrimination positive. Car effectivement la classe politique a baissé les bras. Tout au plus peut-elle encore se gorger de paroles et inventer des dispositifs aussi coûteux qu'inefficaces.
 
Car, on ne peut pas le nier, les immigrés sont pris en charge, sont accueillis. Le mot intégration ne fait même pas peur car on les invites à un parcours du même nom décliné sous forme d'un contrat, le fameux contrat d'accueil et d'intégration. Parlons-en. Ce parcours comporte une journée de formation civique, journée obligatoire bien entendu et à laquelle les immigrants ne se dérobent pas puisque le renouvellement de leur carte de séjour à l'issue d'une première année de présence est lié à la participation à cette journée. Une journée pour parler de l'histoire de la France, de ses lois, de son système politique et administratif, de ses valeurs. Eh oui, rien qu'une journée pour tout ça avec un consultant sans doute grassement payé face à des étrangers ne comprenant pas le français parfois, ou mal, ou face à des gens qui savent qu'à la fin de la journée on leur remettra l'attestation de toute façon même s'ils rêvaient pendant ces quelques heures à leurs terres par eux abandonnées. Ceux qui ne parlent pas ou mal le français n'ont pas de souci à se faire puisqu'on leur dispensera des cours, jusqu'à 400 heures, (ce qui est une bonne chose) qui leur permettront de revoir leurs notes. Et puis en travaillant ils finiront comme leurs prédécesseurs à s'intégrer. Et leurs enfants qui, s'ils naissent en France, seront automatiquement français pourront s'imprégner de l'histoire, de la culture et des valeurs françaises pendant leur scolarité. Enfin tout ça c'est en rêve.
Parce que le dispositif d'accueil et d'intégration dispose aussi depuis peu, depuis 2008, d'un volet d'aide à l'insertion professionnelle qui commence par l'établissement d'un bilan de compétences. Or que dit ce bilan? Que seuls 23% des immigrés sont employables directement. Ce qui signifie que pour les autres ce sera d'abord formation et/ou galère avant de trouver un emploi. Galère aussi pour ceux qui sont employables dans une conjoncture de l'emploi défavorable depuis des dizaines d'années. De fait beaucoup d'immigrés, la majorité même, cumulent des handicaps qui les éloignent d'une intégrabilité par le travail. Quant à l'école, elle souffre de deux maux qui se conjuguent pour empêcher une bonne intégration des enfants d'immigrés. D'une part, elle a été et est toujours victime de cette mode pédagogiste à la Meirieu qui a remplacé l'autorité du maitre par un échange entre individus qui avaient à apprendre les uns des autres, d'autre part, elle a ouvert ses portes à la diversité notamment dans les programmes d'histoire pourtant très importants pour le formatage des individus. Louis XIV et Napoléon s'éclipsent des programmes pour faire place à l'histoire de l'islam ou du Monomotapa chez les plus jeunes. Tout donc se vaut, et le maitre se trouve réduit au rôle d'animateur. Formez donc des citoyens français avec tout ça. Mais j'oubliais, l'essentiel est de privilégier l'éclosion du citoyen du monde qui sommeille en nous. Sauf que certains de nos immigrés ne se sentent pas du tout citoyens du monde. Imprégnés d'une culture en forte relation avec leur religion, privés de repères d'une part puisque l'école ou le travail ne pourra guère leur en fournir, favorisés d'autre part dans le repli sur soi, ce repli qui les éloigne encore plus du monde du travail, par l'air du temps qui place au sommet des valeurs de la République la diversité, sauf une forte volonté de leur part leur permettant de s'extraire de la reproduction de leur milieu d'origine sur leur terre d'accueil, ils resteront étrangers, et leurs enfants aussi même si leurs papiers d'identité disent le contraire. Et on ne pourra que constater come le fait André Guérin la présence de ghettos, de zones de non droit sur le territoire français.
Mais ces ghettos sont aussi la marque d'une volonté de la part d'une partie des immigrants. Ne voulant pas renoncer à leur culture, ils chassent sans avoir besoin d'une quelconque pression physique ou verbale pour cela, tous ceux qui ne veulent pas renoncer à leur mode de vie, tous ceux qui sentent menacée leur façon de vivre, fusse-t-elle le produit de nombreuses générations implantées sur le territoire. S'ils en ont les moyens. A vrai dire, je comprends fort bien les maires qui sous la pression de leurs administrés préfèrent payer des amendes plutôt que de construire des logements sociaux. Seuls ceux qui n'y ont jamais été confrontés et qui savent qu'ils n'y seront jamais confrontés peuvent vanter un système d'habitat mixte. Les gens ne veulent plus se mélanger. Je les comprends. Tout en comprenant également qu'on est dans une impasse en termes d'intégration. Mais d'où doit venir le premier effort, l'effort le plus important, de celui qui demande à se faire accueillir ou de celui qui reçoit? Quand cette question sera clairement tranchée, on pourra peut-être agir. On en est loin.
 
Vous aurez remarqué que dans les deux paragraphes précédents, je n'ai même pas osé parler d'assimilation. Quand la politique d'intégration ne fonctionne pas, se refuse à imposer des règles, l'assimilation de masse est impossible. D'autant plus que comme je le soulignais c'est quasiment considéré comme un crime par certains, ces apôtres de la diversité à qui évidemment cette idée d'assimilation est insupportable. L'assimilation est donc devenue une affaire personnelle quasiment, d'autant plus difficile à réaliser que chez les uns vous susciterez la méfiance, et que chez les autres vous pourrez être considéré comme un traitre à votre communauté.
Voilà où nous en sommes et ce n'est pas réjouissant.

13 commentaires:

  1. Bonjour expat
    Billet bien intéressant qui pose les questions essentielles
    Le souci est déjà celui ci: la France est avec la Grèce il me semble, le seul pays a ne pas avoir ratifié le traité européen sur les langues régionales
    Significatif quand même.....
    Il est interdit de parler breton et de cracher par terre, sympathiques affichettes que l'on pouvait trouver dans les écoles il y a quelques décennies
    Même soucis chez les sécors et les basques
    Pour les alsaciens, compliqué comme histoire, récemment on parlait encore des malgré nous.....
    Ils étaient nombreux à oradour, un bon paquet dans la das reich, des sujets très complexes même 70 ans plus tard
    Pour avoir eu un très bon ami de boulot d'origine serbe, que j'ai d'ailleurs défendu, pas politiquement correct et très mal vu en France, à l'époque des événements en ex gougoslavie et par la suite du kosovo , j'ai bien compris qu'on défend toujours les même chez nous....... on a la mémoire courte, des alliés et amis les serbes, pas suffisant il semblerait....

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  2. Bonjour cher anonyme,
    l'éradication des langues régionales a été un vieux dada de la république. C'est la difficulté de savoir faire la part des choses, entre particularismes régionaux et identités régionales. De fait ce problème existe existe vraiment, et comme chacun a senti l'importance fondamentale du langage, les langues effectivement sont au centre d'enjeux qui dépassent et qui nuisent aux aspects culturels. Par exemple de mon séjour en Bretagne, je me souviens de certaines revendications identitaires se centrant sur la langue alors que le Breton ne fut pas parlé dans toute la Bretagne (un de mes profs de socio spécialisé dans l'identité bretonne disait qu'à l'est d'une ligne St-Brieuc-Vannes on ne s'était jamais exprimé en Breton). De même parait-il que d'un village à l'autre on ne se comprenait guère. Il faut donc s méfier des identités mystiques. Donc pour ma part, je pense qu'effectivement il y a un patrimoine à conserver, et même une certaine identité à défendre mais qui doit être cumulative avec l'identité française. Ce qui semble être le cas pour ce dernier point selon un sondage récent plaçant les Alsaciens et les Bretons (classement alphabétique ne me souvenant plus de l'ordre) se situaient parmi les populations se sentant le plus françaises.
    Quant à l'Alsace c'est effectivement compliqué car on se saurait se suffire du Rhin comme frontière naturelles pour justifier son appartenance à la France. L'Alsace est tout de même historiquement partie intégrante du Saint-Empire Romain Germanique.
    Sur l'attitude la le France, de l'Europe et des USA vis-à-vis de la Serbie je suis tout à fait d'accord avec vous. La France déjà s'est mise à la remorque de l'Allemagne d'un point de vue diplomatique. Les mensonges d'Etat pour justifier la guerre du Kosovo, par exemple, sont bien connus. On a grâce à ces mensonges appuyé la création d'un Etat mafieux et islamique au cœur de l'Europe et vivant sous transfusion internationale.

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  3. Un entrefilet du pays expat , publié dans var matin il y a quelques temps, que m'a envoyé une amie du "sud ",très déplaisant car je fais un joli chèque à cette asso chaque année
    De quoi s'agit il ? Les restos du coeur refusent les boîtes de pâté lors de leur collecte à brignolles !!! Pou pou pou pou pou, elle est "velue " celle là, mais c'est la réponse donnée à un généreux donnateur qui en est resté baba
    On lui a simplement répondu qu'ils n'avaient pas le temps de lire les étiquettes......... on n'aime plus le cochon chez les moccos il semblerait, à quand l'interdiction des boîtes de hénaff dans la royale ?
    Anecdotique ???j'ai des doutes....

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  4. Ce serait tout de même indigne de profiter de la misère des gens pour les obliger à manger des choses que leur religion leur interdit. Supprimons donc le cochon pour tous afin que ça ne puisse pas arriver.

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  5. Bonjour expat, effectivement, bon esprit :-)
    Le problème revient sur le tapis, avec la déclaration de miss front et ce besoin de nous faire bouffer hallal contre nôtre gré, quand même grave mais pas nouveau,responsabilité des ps coco mais encore plus des gaugaus de l'ump, depuis tant d'années aux commandes il n'ont rien fait contre ces dérives, calcul électoral qui va leur coûter très cher
    Un lien qui date mais en dit long sur le sujet
    http://ripostelaique.com/Un-representant-de-la-mosquee-de.html

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  6. quelques exemples de plus de ce joyeux salmigondis http://ripostelaique.com/43893.html

    http://ripostelaique.com/en-1995-jai-vote-jospin-en-2012-je-voterai-marine-contre-les-social-islamistes.html

    http://ripostelaique.com/rebsamem-ou-la-soumission-criminelle-du-ps-a-leuropeisme-et-a-limmigrationnisme.html

    comme disait ce cher Desproges,étonnant non???

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  7. un dernier pour la route :

    http://ripostelaique.com/bernard-henri-levy-de-la-haine-du-peuple-francais-a-la-connivence-permanente-avec-lislam.html

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  8. une petite vidéo expat après mes liens sur ripostelaique
    http://www.youtube.com/watch?v=Fn9mi5tnVTA
    on laisse faire bien sur depuis longtemps
    je me suis demandé ce qui arriverait si je me mettais au milieu de l'avenue du président wilson,à paris aussi,où j'ai vécu un certain temps,disons pour bouquiner ou fumer une clope????

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  9. la réponse est simple : les furieux en voiture me rouleraient sur la couenne,pas plus compliqué :)

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  10. Cher JJDG (l'anonymat se lève peu à peu)
    désolé de vous avoir négligé après ces différents billets. mais imaginez que mon temps libre déjà réduit par un petit garçon de presque deux ans qui ne me laisse guère le temps de flâner, est obéré par une guerre avec le fisc qui me doit quelques centaines d'euros et qui a mauvaise grâce à me les restituer. Faut dire que je suis tombé sur une championne qui apparemment en sait moins que moi sur les règles fiscales s'appliquant aux non-résidents alors que c'est son boulot. Donc échange de mails, de fichiers et d'insultes feutrées sont mon quotidien depuis peu. Comme je suis sûr que le WE ils ne travaillent pas, la trêve approche. Si vous connaissez un fonctionnaire du fisc ayant un certain poids faites moi signe.

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  11. Bonsoir expat
    les liens sur ce site,riposte laique,ne sont qu'une partie de leur articles
    mais ils dérangent fortement certains,les responsables de ce site ont été poursuivis par la meute habituelle,pour 2 d'entre eux ont été "remerciés" par de la prison avec sursis et un ensemble d’amendes et de dommages et intérêts de 158.588 euros, rien de moins.
    plus de détails avec ce lien : http://ripostelaique.com/interview-de-pierre-cassen-apres-le-proces-des-animateurs-de-riposte-laique.html
    la preuve que ça verrouille dur,je ne reconnais plus ce pays
    cela devient une manie,je trouve tout ceci très grave
    et pendant ce temps,on assiste à une campagne d'une platitude navrante,des querelles de tétards dans un bac à sable,tant de questions à traiter,mais non ils se chamaillent pour des conneries sans intérêt,pitoyable
    en réalité je n'ai plus que du mépris pour ces imbéciles

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  12. oh que si,ils ont des idées brillantissimes,ps & ump main dans la main sur une telle absurdité :
    http://www.defrancisation.com/le-11-novembre-devient-jour-dhommage-a-tous-les-morts-pour-la-france/
    et puis ça aussi : http://www.defrancisation.com/francois-hollande-a-evry-vous-les-habitants-des-cites-vous-etes-lavenir-de-la-france/#more-41139
    va t'on devoir prendre le maquis(enfin pour moi c'est plutôt la lande)??? :)
    des coups à finir royaliste avec de telles nullités

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  13. Bonjour JJDG,
    j'ai lu tous vos liens cette nuit. Même pas eu de cauchemars Enfin si avant de m'endormir.

    Sur votre dernier commentaire, peut-être concernant ces fameuses associations, seriez vous intéressé par un truc que j'ai écris en deux parties il y a bientôt deux ans.
    http://expat-spb.blogspot.com/2010/06/miseres-de-lantiracisme-1ere-partie.html
    http://expat-spb.blogspot.com/2010/06/lantiracisme-une-supercherie-2eme.html

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